Curio à Faido à Odogno 7 au 18 septembre 2019

22 novembre 2019

C’est dimanche et pas grand monde sur la route du Monte Ceneri, je retourne à Faido où je joue le 14 septembre. 

Juste après Cannobio une vespa me dépasse, freine, puis m’attend. Un homme la quarantaine avec un grand sourire me pose plein de questions sur le vélo, nous faisons un petit kilomètre l’un à côté de l’autre, lui avec son casque à l’italienne et moi dans ma tenue jaune canari. 

Juste avant le haut du col le vélo se met à faire un drôle de bruit, un petit sifflement douteux qui me rend nerveux et inquiet. J’ai peur de la panne, en soit, de me retrouver avec ces 130 kg et ne plus pouvoir avancer. En effet, ça demanderait une camionnette d’au moins trois mètres de long, la louer, puis aller faire réparer le vélo à Zurich, autant dire que je peux dire adieu à pas mal de concerts…

Le soir, j’ai dormi au camping de Claro à 30 kilomètres de Faido, l’endroit était désert, humide, pas très drôle mais le vélo avec le sifflement de plus en plus fort à tenu bon.

Le lendemain, j’ai rejoint Faido à quelques kilomètres, avant le village, il y avait une montée de 3 km à 8.5 pourcents, génial, le vélo à tenu bon.

Le concert de Faido dans une ancienne scierie a été mémorable avec la visite d’un loir sur la poutraison, un grand moment et un public adorable.

 La semaine suivante, je suis redescendu sous la pluie pour le concert du 20 octobre à Lugano, la pluie qui du coup à fait disparaitre le sifflement, me voici soulagé et comme j’aime le dire la pluie n’est pas le mauvais temps…

Puis, superbe concert à la Villa Saroli et trois magnifiques jours passés à Odogno chez Véronique et Giampiero avec une jolie balade en forêt et quelques bolets.

Envoyé à partir d’Outlook


De : Francois Vé <francois@francois-ve.ch>
Envoyé : mercredi, 20 novembre 2019 13:17
À : Fiona Viande <fionaviande@hotmail.com>
Objet : Re: Du tonton

Curio à Faido – Odogno

 

C’est dimanche et pas grand monde sur la route du Monte Ceneri, je retourne à Faido où je joue le 14 septembre.

Juste après Cannobio une vespa me dépasse, freine, puis m’attend. Un homme la quarantaine avec un grand sourire me pose plein de questions sur le vélo, nous faisons un petit kilomètre l’un à côté de l’autre, lui avec son casque à l’italienne et moi dans ma tenue jaune canari.

Juste avant le haut du col le vélo se met à faire un drôle de bruit, un petit sifflement douteux qui me rend nerveux et inquiet. J’ai peur de la panne, en soit, de me retrouver avec ces 130 kg et ne plus pouvoir avancer. En effet, ça demanderait une camionette d’au moins trois mètres de long, la louer, puis aller faire réparer le vélo à Zurich, autant dire que je peux dire adieu à pas mal de concerts…

Le soir, j’ai dormi au camping de Claro à 30 kilomètres de Faido, l’endroit était désert, humide, pas très drôle mais le vélo avec le sifflement de plus en plus fort à tenu bon.

Le lendemain, j’ai rejoint Faido à quelques kilomètres, avant le village une montée de 3 km à 8.5 pourcents, génial, le vélo à tenu bon

Le concert de Faido dans une ancienne scierie fut mémorable avec la visite d’un loir sur la poutraison, un grand moment et un public adorable.

 

La semaine suivante, je suis redescendu avec la pluie pour le concert du 20 octobre à Lugano, la pluie qui du coup à fait disparaître le sifflement, me voici soulagé et comme j’aime le dire la pluie n’est pas le mauvais temps…

Super concert à la Villa Saroli et trois magnifiques jours passés à Odogno chez Véronique et Giampiero avec une jolie balade en forêt et quelques bolets.

Partager